Voir son activité freinée sec par la crise sanitaire, ne plus pouvoir exercer quand on le souhaite ou encore ne pas être éligible à toutes les mesures d’aide, comme le chômage partiel par exemple: tel est le quotidien de nombreux indépendants depuis le début de la crise sanitaire, en mars 2020.
«On a de plus en plus de messages de détresse», confie Nicolas Henckes , directeur de la clc, qui représente plus de 11.000 entreprises actives dans le commerce, les services et les transports au Luxembourg.
Voilà pourquoi elle prépare, de concert avec d’autres organisations professionnelles, un système d’assistance psychologique. «On va réfléchir à garantir l’anonymat, faire cela dans les règles de l’art et boucler le financement. Ensuite, il faudra voir si on ouvre cette ligne à nos membres ou si on élargit à d’autres entreprises», détaille le responsable.
(Journaliste : Catherine Kurzawa – Photo : Shutterstock)