16.03.2021

Luxemburger Wort: « Le travail dominical sous limite d’un quota »

C’est là une des pistes discutées entre syndicats et Confédération luxembourgeoise du commerce. Cette règle pourrait supplanter les textes en vigueur qui ne semblent plus adaptés aux souhaits des salariés comme des gérants de magasins.

Voilà une initiative de l’ITM qui n’a guère plu aux commerçants concernés. Au terme d’une année 2020 compliquée en termes de business, voilà que l’Inspection du Travail était venue mettre son nez dans le fichier reprenant le temps de travail des salariés pour la période du 1er novembre au 13 décembre 2020. L’idée étant de vérifier si une centaine d’employeurs (pris au hasard) avaient bien respecté les règles applicables au travail dominical.

Et là, stupéfaction : sur les 90 enseignes ayant pris soin de répondre, près de la moitié (51 exactement) n’avaient pas respecté le Code du travail et son article L.231-4 stipulant que la durée maximale de travail des salariés occupés le dimanche ne peut excéder quatre heures dans un établissement de vente au détail. «La loi donne la possibilité de travailler plus que quatre heures le dimanche, mais les règlements grand-ducaux qui pourraient étendre le travail à huit heures n’ont jamais été pris», soulève Claude Bizjak, directeur-adjoint de la Confédération luxembourgeoise du commerce (CLC).

 

(Journaliste Patrick Jacquemot – Photo : dpa)

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