Période transitoire jusqu'à fin de l'année concernant le télétravail en matière d'affiliation à la sécurité sociale des travailleurs frontaliers

Période transitoire jusqu’à fin de l’année concernant le télétravail en matière d’affiliation à la sécurité sociale des travailleurs frontaliers

Suite à la situation exceptionnelle due à la crise de la COVID-19, il avait été décidé de ne pas prendre en compte les journées de télétravail liées à la crise de la COVID-19 pour la détermination de la législation de sécurité sociale applicable aux travailleurs frontaliers. Cette disposition exceptionnelle prend en principe fin le 30 juin 2022.

Néanmoins, les membres de la commission administrative pour la coordination des systèmes de sécurité sociale de l’Union européenne ont décidé de la mise en place d’une période transitoire de 6 mois prenant cours le 1er juillet 2022 et se terminant le 31 décembre 2022. Lors de cette période transitoire, une tolérance administrative sera appliquée, permettant aux travailleurs frontaliers de continuer à effectuer le travail sous forme de télétravail à partir de leur domicile, sans craindre de changer d’affiliation de sécurité sociale en cas de dépassement du seuil de 25% prévu dans la législation européenne.

Cette disposition ne s’applique que pour le domaine de la sécurité sociale. Les accords en matière de la fiscalité sont de la compétence du ministère des Finances.

 

Communiqué par le ministère de la Sécurité sociale

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Les soldes d'été démarrent ce vendredi 24 juin

Luxemburger Wort : « Les soldes d’été démarrent ce vendredi 24 juin »

Même si les porte-monnaie des ménages souffrent de l’inflation et de la flambée des prix de l’énergie, Marc Herber, président de la fédération de la mode du Luxembourg, estime que les clients seront au rendez-vous.

Alors que la période des soldes d’été a démarré ce mercredi 22 juin en France, le top départ est fixé à ce vendredi 24 juin dans les commerces luxembourgeois, qui pourront proposer des rabais pendant un mois, jusqu’au samedi 23 juillet inclus.

Après des soldes d’hiver décevants, car fortement perturbés par la situation sanitaire et l’augmentation des infections au Covid en début d’année, ces soldes d’été commencent dans un contexte de relative «normalité», ce qui n’est pas pour déplaire à Marc Herber, président de la fédération de la mode (Fémo) du Luxembourg.

 

Des clients plus frileux ce printemps

Mais avant d’évoquer ce mois de démarques qui va s’ouvrir, le responsable tient à rappeler le contexte commercial de ce premier semestre, affecté par la guerre en Ukraine. «Elle a eu des répercussions sur la production car, chose que j’ai découverte moi aussi, certains produits, certaines pièces proviennent d’Ukraine : par exemple des tirettes, des boutons. Il y a eu un impact au niveau des collections, même si les clients ne l’ont pas forcément ressenti.»

 

(Photo: AFP)

 

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chauffeurs poids-lourds

Lëtzebuerger Journal : « Cherche chauffeurs poids-lourds désespérément »

chauffeurs poids-lourds

Les transports routiers figurent parmi les secteurs qui peinent à recruter. Une tendance longue qui s’est aggravée depuis la crise du Covid-19 et inquiète les professionnel·le·s.

Le monde d’après que l’on nous vantait durant le confinement, comme si ce gel de l’économie et des interactions sociales pouvait constituer un nouveau départ, n’est pas encore arrivé. Ou alors il a le visage opposé de ce que l’on en espérait. Dans plusieurs secteurs, la crise sanitaire a eu l’effet d’un électrochoc et accéléré la déperdition de professionnel·le·s. C’est exactement ce qui se passe dans le secteur des transports routiers qui assiste à la fois à la défection de conducteur·rice·s chevronné·e·s et à l’absence de relève, et ce en pleine surchauffe post-Covid des échanges internationaux de marchandises.

« Il manque 500.000 chauffeurs routiers à travers l’Europe », chiffre Antoine Ries, conseiller de la Confédération luxembourgeoise du commerce auprès du Groupement Transports, la fédération des transporteurs. « Traditionnellement, le secteur des transports luxembourgeois a toujours embauché dans les pays limitrophes, en particulier en Belgique, en France et en Allemagne. Ces pays souffrent également d’énormes manques de chauffeurs : en Allemagne, la fédération des transporteurs […] évalue ce manque à 80.000 chauffeurs, et cela pourrait doubler d’ici 2030. Il s’agit d’un problème structurel avec 30.000 chauffeurs qui partent en retraite tous les ans et seulement 15.000 recrues. Le déficit s’accumule et la situation s’aggrave. » Même en Europe de l’Est, dans laquelle les pays d’Europe de l’Ouest puisent depuis plusieurs années, les conducteur·rice·s de camion se font plus rares. « Rien qu’en Pologne, il manquerait 100.000 chauffeurs », cite M. Ries. Et encore, ces chiffres ont été établis avant que la guerre en Ukraine ne vienne retirer des routes européennes 100.000 chauffeurs de ce pays.

 

(Par Camille Frati, Lex Kleren, Misch Pautsch)

 

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Communiqué de presse : "Entrevue Chambre Immobilière – Ministre Taina Bofferding"

Communiqué de presse : « Entrevue Chambre Immobilière – Ministre Taina Bofferding »

En date du vendredi 10 juin 2022, La Chambre Immobilière a rencontré Madame la Ministre Taina Bofferding. La fédération, affiliée à la clc, souhaitait avant tout exprimer son soutien à la Ministre dans ses différentes approches concernant la mobilisation de ressources en faveur du logement.

Ainsi, la Chambre Immobilière salue tout particulièrement l’approche prise dans le cadre de la loi dite « Pacte logement 2.0 » et plus précisément de l’article 29bis de la loi modifiée du 4 août 2004 concernant l’aménagement communal et le développement urbain. En effet, la mesure de

compensation proposés est une piste extrêmement intéressante qu’il s’agit d’affiner.

Madame la Ministre Taina Bofferding a ensuite mis l’accent sur plusieurs autres textes en voie de préparation :

– La réforme de l’impôt foncier avec une volonté de lutter contre la spéculation foncière et les logements laissés vacants. Le principe de l’imposition sera le potentiel de construction (« Baupotenzial ») de chaque terrain.

– Le Baulandvertrag avec son obligation de construction

– L’introduction de Wohnungsbaugesellschaften sur le modèle autrichien (Vienne) en PPP avec le secteur privé

Elle confirme que le besoin non satisfait en logement abordable pour différentes situations de revenues est un sujet capital pourle gouvernement etson Ministère. Elle souhaite impliquer fortement les Communes dans ces réflexions et les faire participer activement à la recherche de solution.

La Chambre immobilière a rappelé ses positions sur ces sujets :

– La Chambre immobilière critique la spéculation foncière et considère que ses membres ne sont pas ceux qui font de la rétention. Elle informa alorsla Ministre qu’elle a invité le LISER à étudier les dossiers auprès des plus grands promoteurs luxembourgeois pour détecter les raisons des délais dans les procédures. Cette offre est cependant restée lettre morte à ce jour.

– La Chambre immobilière soutien la réforme de l’impôt foncier et surtout toute forme de lutte contre la spéculation et les logements vacants. Elle tient à rappeler qu’elle avait, lors de l’abolition de la TVA à 3% pour les logements en location, invoqué préférer une modification
de l’impôt foncier. Elle souhaiterait qu’à l’introduction de la réforme de l’impôt foncier il soit réfléchi à revenir sur une TVA à 3% sur les logements loués, quitte à ce que cela soit lié à des conditions de loyer à coût modéré à définir.

– La Chambre immobilière plaide depuis de nombreuses années pour une ouverture du segment du logement conventionné aux acteurs publics. Ceci afin de faire face à un besoin colossal de logements à coût modéré en location. Elle se propose d’étudier le modèle de PPP sous forme de Wohnungsbaugesellschaften qui pourrait être une forme utile pour associer les acteurs privés à la lutte contre cette pénurie croissante de logements abordables.

– La Chambre Immobilière plaide enfin pour le maintien crucial à un niveau élevé de création de nouveaux logements pour faire face à la demande élevée en logement.

 

 

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ULAV

Mytravelagency.lu – La nouvelle campagne de l’ULAV !

L’ULAV, l’Union Luxembourgeoise des Agences de Voyages (affiliée à la clc) lance ce mardi 14 juin une campagne autour des atouts de passer par une agence de voyage pour réserver ses vacances !

 

Agence de confiance, de conseils, de qualité, de sérénité, de découvertes, de souvenirs, de voyages…telle est l’annonce faire par l‘ULAV dans sa nouvelle campagne de communication qui sent bon les vacances et le soleil !

Le secteur des voyages qui a été l’un des plus touchés par la crise Covid, a su résister malgré les difficultés rencontrés. Les agences de voyages ont elles, été toujours présentes pour leurs clients en les conseillant au mieux et en assurant leur sécurité au regard des conditions sanitaires dans les différents pays.

Les agences de voyages de l’ULAV souhaitent désormais rappeler au public que réserver un voyage en agence agence de voyages…c’est un gage de sérénité et la garantie d’un séjour inoubliable, élaboré par des professionnels dévoués et passionnés.

>>> Découvrez ainsi tout ce qu’une agence de voyages fait pour vous sur www.mytravelagency.lu

 

Visualisez les vidéos de la campagne:

(FR)

(EN)

(LU)

 

 

agence de voyage ULAV mytravelagency.lu

agence de voyage ULAV mytravelagency.lu

agence de voyage ULAV mytravelagency.lu

 

 

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Changer les risques en opportunités

Paperjam : « Carole Muller: «Changer les risques en opportunités» »

Nouvelle présidente de la Confédération luxembourgeoise du commerce (CLC) depuis le 31 mai dernier, Carole Muller, CEO des boulangeries Fischer, veut continuer à porter la voix des entreprises auprès du gouvernement, mais aussi créer de nouvelles fédérations.

 

Vous avez été élue à l’unanimité présidente de la CLC le 31 mai par le conseil d’administration. Vous en étiez auparavant la vice-présidente, pourquoi avoir proposé votre candidature au poste de présidente?

Carole Muller . – «Il y a trois ans, Fernand Ernster  (qui a donc passé le relais après huit années de présidence, et qui reste dans le bureau exécutif de la CLC en tant que vice-président, ndlr) est venu me proposer de m’engager plus au sein de la confédération, pour la moderniser et amener une nouvelle dynamique. Il m’avait vue évoluer en tant que présidente de la Fédération des jeunes dirigeants d’entreprise, donc il m’a demandé si je n’étais pas intéressée de m’investir un peu plus, et de prendre plus de responsabilités. J’ai donc été élue vice-présidente il y a deux ans, et Fernand m’avait dit que lorsque je m’en sentirai prête, il proposerait ma candidature au conseil d’administration, et ce fut le cas le 31 mai dernier et j’ai eu la chance d’être élue par le CA.

Ces deux années à la vice-présidence ont été deux années de réflexion?

«J’avais en effet besoin de temps pour comprendre comment la CLC fonctionne, pour voir dans quoi je m’engageais, parce que mon entreprise vient du secteur du commerce, mais la CLC représente le transport, les services et le commerce, et c’était important pour moi de prendre le temps de comprendre les enjeux de la confédération. Une des principales raisons pour lesquelles j’ai accepté en premier lieu, c’est que je crois vraiment qu’il faut un patronat bien représenté vis-à-vis du gouvernement pour que nous, en tant que chefs d’entreprise, puissions nous concentrer sur l’opérationnel.

Quelles sont vos priorités en tant que présidente de la CLC?

«Je veux continuer l’excellent travail mené par l’équipe précédente, que l’on soit un vrai partenaire pour nos gouvernants, pour la politique en général, pour aussi leur faire comprendre les enjeux de nos entreprises, les problématiques auxquelles nous sommes confrontés, surtout à une époque comme celle-ci où nous sortons à peine d’une crise pour entrer dans une autre. Mais est-ce que finalement on appelle cela une crise ou un monde qui change très rapidement et où il faut être très résilient? Je pense qu’aujourd’hui, une de mes priorités c’est aussi ça: accompagner nos entreprises afin qu’elles soient plus résilientes, ou en tout cas les encourager à être ouvertes aux changements, les accepter, mais surtout aussi les accompagner et en tirer le meilleur pour elles. En tant que chef d’entreprise, c’est un peu dans notre ADN de voir les challenges qu’il y a, les opportunités, de changer les risques en opportunités. Il faut être agile, mais il est certain qu’il y a des secteurs où c’est plus facile de s’adapter que dans d’autres.Une autre de mes priorités est de créer de nouvelles fédérations, car tous les secteurs ne sont pas encore représentés. La fédération du drone vient d’être créée et nous allons également créer la fédération du retail. Le but est de regrouper nos membres qui ont des intérêts communs. Et je dois apprendre à connaître nos 1.800 membres et 22 fédérations, c’est aussi une de mes priorités.

 

(Photo: Archives/Romain Gamba/Maison Moderne)

 

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Carole Muller

L’essentiel : « Carole Muller, nouvelle présidente de la clc »

Carole Muller est la nouvelle présidente de la Confédération luxembourgeoise du commerce (clc). La PDG des boulangeries Fischer a ainsi été «unanimement élue» par le conseil d’administration.

Elle remplace Fernand Ernster, qui a «souhaité céder sa place au nom du renouvellement, après 8 ans de présidence», indique la clc dans un communiqué.

«La clc nécessite une gouvernance pleine d’esprit et déterminée pour faire face aux crises actuelles et aux problèmes structurels qui touchent lourdement les secteurs du commerce, du transport et des services», a déclaré Carole Muller. Invitée de L’essentiel Radio en septembre dernier, la dirigeante était revenue sur son parcours.

 

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commission

Communiqué de presse : « Entrevue entre les représentants de la Chambre immobilière et le ministre de l’Économie Franz Fayot »

commission

En date du 19 mai 2022 a eu lieu une entrevue entre les représentants de la Chambre Immobilière et le ministre de l’Économie Franz Fayot. La réunion portait sur les instruments à considérer pour contrer la hausse constante des prix dans le secteur immobilier, et plus particulièrement sur les réflexions du ministère de l’Économie pour freiner, le cas échéant, les commissions facturées par les agents et intermédiaires en cas de transactions immobilières. D’après une première analyse, le ministère de l’Economie estime que l’application générale d’une commission, de par son caractère incitatif, contribue, dans une certaine mesure, à l’augmentation des prix de l’immobilier.

Le pourcentage des commissions s’élève usuellement à 3% du prix de vente du bien immobilier (hors taxe sur la valeur ajoutée, TVA), à charge du vendeur. Le pourcentage (officiel) de 3% est loin endessous des pourcentages perçus dans d’autres pays européens. En fin de compte, pour la Chambre immobilière, la commission est une « success fee » qui comprend beaucoup de prestations non rémunérées.

Au Luxembourg, le secteur des agences a connu un essor considérable au cours des dernières années. Avec plus de 1.200 agences employant près de 2.000 personnes, le Luxembourg était, en 2019, le premier pays européen en termes de ratio « nombre agences par 1.000 habitants ». Selon le STATEC, entre 2005 et 2019, le chiffre d’affaires du secteur des agences immobilières a progressé de +273% à 571 millions d’euros. Le chiffre d’affaires des agences est principalement généré par des commissions
qui, représentent un certain pourcentage sur le prix du bien immobilier en cas de vente.

Pour la Chambre immobilière, la hausse du prix de l’immobilier résulte de plusieurs éléments, mais pas de la commission de vente dont bénéficient les agents immobiliers sur les biens vendus par leur intermédiaire. En effet, les propriétaires de maisons souhaitent vendre au prix maximal, et trop d’agences dans le besoin s’engagent à vendre à des prix trop élevés. Par ailleurs, la croissance démographique et la pénurie de terrains constructibles poussent les prix à la hausse.

 

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