loi déchet

Paperjam : « Ce qu’ils pensent de la loi déchets »

Enthousiastes ou méfiants, la loi déchets votée mercredi ne les laisse en tout cas pas indifférents. Petit passage en revue des avis dans le camp de la politique, de la société, du patronat et des professionnels du tri sélectif.

De la facturation des emballages aux centres de tri en supermarchés en passant par l’introduction d’une consigne sur les boissons, la loi déchets va impacter le quotidien de l’ensemble de la population au Luxembourg.

Et qui dit changement dit évidemment réactions. Voilà un petit tour d’horizon des positions des différents acteurs concernés par ce paquet de cinq textes basé sur les stratégies gouvernementales dédiées au zéro déchet  et à l ’économie circulaire.

 

Le paquet législatif

«Le Mouvement écologique soutient l’approche du ministère qui, dans certaines dispositions, va au-delà des exigences de l’UE», indique le Mouvement écologique dans un communiqué de presse.

À l’inverse, la clc et la FLAD regrettent cet excès et auraient préféré une simple transposition des directives européennes. «Même au niveau de la coalition, nous avons entendu des critiques et doutes quant à l’efficacité des mesures ou encore par rapport au risque de la fuite du pouvoir d’achat», martèle René Grosbusch , président de l’organisation représentant 90% du commerce alimentaire au Luxembourg.

Pour le rapporteur du projet de loi, François Benoy (déi Gréng), «nous faisons un pas important pour passer de la société du tout-jetable à l’économie circulaire».

 

Les centres de recyclage en magasins

«Le centre de collecte des déchets en magasin, ce n’est pas une mauvaise idée en soi», plaide Jean Feyereisen, responsable des publications de l’ULC. «L’idée selon laquelle cela augmenterait les coûts est probable, mais cela n’a pas encore été prouvé.»

La clc, pour sa part, se montre plus critique et parle même d’une «inefficacité écologique et économique». Son directeur adjoint Claude Bizjak doute de la volonté de la clientèle à ramener au magasin des emballages qu’elle a la possibilité de jeter dans un sac Valorlux chez elle grâce au système de collecte en porte-à-porte.

«C’est un système parallèle à Valorlux dont je ne vois pas trop l’utilité», réagit Claude Turping, managing director de Valorlux . Certes le dispositif est déjà expérimenté depuis des années au Cactus d’Howald, mais il est de l’aveu même du responsable «compliqué»: «Nous estimons que la qualité du tri réalisé manuellement par des particuliers n’est pas optimale et que des machines sont plus appropriées pour distinguer par exemple différentes matières d’emballages comme l’acier de l’aluminium.» Claude Turping approuve en revanche l’idée de mettre à la disposition des clients des containers pour qu’ils se séparent – dès la sortie des caisses – des emballages excédentaires et confirme la demande des consommateurs pour ce dispositif.

 

 

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Lois «zéro déchets» : les critiques des acteurs du terrain

Le Quotidien « Lois «zéro déchets» : les critiques des acteurs du terrain »

Lois «zéro déchets» : les critiques des acteurs du terrain

Le caractère ambitieux, voire «visionnaire» selon déi gréng, du paquet législatif sur la gestion des déchets suscite de nombreuses critiques. Mardi, une véritable levée des boucliers a eu lieu parmi les acteurs du terrain. Tour d’horizon des principales critiques.

Artisans : «N’importe comment et à n’importe quel prix !»

Les fédérations artisanales ont demandé, en vain, «le report du paquet déchets pour permettre aux instances impliquées de trouver des solutions viables avec les entreprises (…)». Cette revendication repose sur la situation de crise actuelle, mais aussi sur le «dialogue de sourds» avec le gouvernement.

«Les fédérations artisanales se plaignent que le ministère ait refusé catégoriquement la prise en compte de leurs remarques et propositions, liées à leurs expériences pratiques, au respect du cadre réglementaire existant en matière d’hygiène alimentaire (…)», fustige un communiqué diffusé mardi soir.

Le paquet «pénaliserait» le client. «Signalons (…) que (les) différentes mesures auront comme conséquence de renchérir le prix de ces produits et exposeront les entreprises à une charge administrative encore plus importante dans un contexte déjà extrêmement tendu», poursuit l’écrit signé par la Fédération des artisans et l’association Lëtzebuerger Liewensmëttelhandwierk.

Néanmoins, l’objectif n’a «jamais été de remettre en cause la volonté du gouvernement de faire du Luxembourg un pays précurseur dans le domaine de la gestion des déchets, de la protection des ressources et de l’économie circulaire. Bien au contraire : les artisans se positionnent en acteurs incontournables, responsables et engagés de la décarbonisation du pays. Dans ce contexte, la réduction des déchets et des emballages apparaît comme un défi majeur à relever, mais pas n’importe comment ni à n’importe quel prix !»

CLC : une «extravagance qui va coûter cher»

La Confédération luxembourgeoise du commerce (CLC) est vent debout contre le paquet législatif sur la gestion des déchets. «Tandis que tous les secteurs font face à des flambées des prix sans précédent et que l’approvisionnement en matières premières devient de plus en plus compliqué, voire incertain à moyen terme, le gouvernement entend (faire) voter (…) une panoplie de mesures « vertes », qui non seulement risquent d’accroître les problèmes actuels, mais encore n’apporteront pas de plus-value écologique réelle», fustige un communiqué publié mardi.

La CLC évoque une «extravagance luxembourgeoise qui coûtera cher au consommateur final».

 

 

Texte : David Marques

Photo : Fabrizio Pizzolante

 

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New waste law package a step towards circular economy

Delano: « New waste law package a step towards circular economy »

A set of five laws referred to as the circular economy package were voted in by members of parliament on 27 April in line with Luxembourg efforts to reduce single-use plastic, littering and food waste.

The bills which have been two years in the making mark an important step in the grand duchy’s transition towards a circular economy. Their main priority is the prevention of waste, by reusing materials or avoiding unnecessary accumulation.

Supermarket customers for example will be incentivised to choose reusable packaging such as eco-bags for fruit and vegetables by having an additional price added to products that are single wrapped in single-use plastic for example. Fruit and vegetables under 1.5kg will no longer be allowed to have plastic packaging.

Cosmetics containing microplastics will be banned from the market. Also banned are certain single-use plastic products such as cotton buds, cutlery, plates, straws and food containers.

Supermarkets with a surface larger than 400m2–thus 136 businesses–will have to offer a space for used package collection from 1 January 2023. Supermarkets with a surface larger than 1,500m2–of which there are 45 such businesses in Luxembourg–will have to follow suit one year later. This would cost businesses an estimated €12m in additional labour.

The CLC, Luxembourg’s federation for commerce, has argued that Valorlux–the grand duchy’s recyclable waste collection company–already undertakes this work: “[Valorlux] is the commercial sector’s solution to its obligation to take back and recycle packaging placed on the market. The current legislative proposal is therefore clearly redundant with respect to the Valorlux system and will not add any ecological value.”

 

(Photo: Shutterstock)

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Clc in the press

Emballages plastiques

Les Frontaliers : « Emballages plastiques, déchets : la réglementation se durcit au Luxembourg »

Centres de recyclage dans les supermarchés, réduction des emballages, mise en place de consignes…Quelles sont les nouvelles mesures prises par le gouvernement ?

Le Luxembourg produit tous les ans 14,8 tonnes de déchets par habitant. Les déchets en plastique représentent environ 42,8 kg par résident. Le constat fait par le gouvernement est sans appel “Trop de déchets recyclables terminent dans la poubelle pour déchets ménagers“.

 

Emballages plastiques et emballages carton

Mercredi 27 avril 2022, la Chambre des députés a voté 5 lois dit “Paquet économie circulaire” dont les objectifs principaux restent la prévention et la réduction des déchets. Il fournit également le cadre légal pour réduire le plastique à usage unique, le dépôt de déchets sauvage et le gaspillage alimentaire. Quelles vont être les règles au Luxembourg ?

Les résidents luxembourgeois devront respecter la consigne sur les emballages. Dès 2023, les établissements de plus de 400m² devront disposer d’un point de reprise des emballages de leurs produits. Il est prévu dans la nouvelle réglementation qu’en 2023, la suppression des emballages plastiques pour les fruits et légumes vendus en dessous de la quantité d’1,5kg.

Les supermarchés de plus de 1.500m² devront disposer de points de collecte du carton, du verre et du plastique dès 2024.

En ce qui concerne la publicité dans les boîtes aux lettres, elle sera interdite à partir de 2024. Seules, les personnes ayant mis un autocollant réclamant des dépliants publicitaires sur leur boîte aux lettres pourront en recevoir.

 

 

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Opinions divided over waste management laws

Delano: « Opinions divided over waste management laws »

Luxembourg on Wednesday voted into force new waste management laws that largely ban single-use and plastic packaging as well as paving the way for a deposit system for drinks containers, but environmental organisations and businesses are divided over their effectiveness.

From the invoicing of packaging to sorting centres in supermarkets and the introduction of a deposit on drinks receptacles, the new waste management laws will have an impact on the daily life of the entire population in Luxembourg.

The legislative package

« The Mouvement écologique supports the ministry’s approach, which in some provisions goes beyond the EU requirements », the environmental activist group Mouvement Ecologique said in a press release.

On the other hand, the CLC and Flad, which represent businesses and food and drinks distribution players, say they are opposed to the in-depth overhaul of Luxembourg’s waste management system, and would have preferred a simple transposition of the European directives.

“Even from within the coalition, we have heard criticism and doubts about the effectiveness of the measures and the risk of a loss of purchasing power,” said René Grosbusch, president of the Flad, which represents 90% of the food trade in Luxembourg.

But the rapporteur of the bill, François Benoy (déi Gréng) said by introducing the new laws that exceed the requirements of the directive, Luxembourg is “taking an important step towards moving from a throwaway society to a circular economy.”

 

(Photo: Mike Zenari/Maison Moderne)

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Clc in the press

Le "paquet déchets" vivement critiqué

RTL 5minutes « Le « paquet déchets » vivement critiqué »

« Il s’agit de mesures qui coûteront beaucoup d’argent et qui n’apporteront très probablement pas grand-chose au niveau écologique, » critique la Confédération luxembourgeois du commerce le « paquet déchets » soumis au vote des députés ce mercredi après-midi.

Il s’agit de cinq projets de loi qui concernent les emballages, les déchets, la pollution plastique et électronique et qui visent à éviter les déchets.

Tant la Confédération luxembourgeois du commerce (CLC) que la Fédération luxembourgeoise de l’Alimentation et de la Distribution critiquent fermement ces textes législatifs. Interviewé par nos collègues de RTL, le gérant de la société Grosbusch explique notamment pourquoi l’interdiction d’emballer dans du plastique des fruits et légumes frais d’un poids inférieur à 1,5 kilo, n’aura pas que des avantages.

-> Nouvelles lois sur les déchets: « Une extravagance luxembourgeoise qui coûtera cher au consommateur final » 

« La durée de vie d’un concombre emballé dans du plastique est de quatre à cinq jours plus longue. Là, vous pouvez vous demander si vous prenez celui qui est emballé dans du plastique, qui se conserve plus longtemps et avec lequel le gaspillage alimentaire est donc minimisé, ou si vous allez sur la voie plus écologique en tant que supermarché et risquez, après deux-trois jours de ne pas l’avoir vendu et de le jeter« , selon Goy Grosbusch.

Le gouvernement tente ici d’agir en solitaire pour le marché luxembourgeois, au lieu de se raccrocher à la législation française, par exemple, regrette le gérant de la société Grosbusch.

 

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Déchets au programme et grogne en perspective

Le Quotidien : « Déchets au programme et grogne en perspective »

C’est ce mercredi que les députés doivent débattre du paquet «Déchets» qui correspond à cinq projets de loi relatifs aux emballages et aux déchets plastiques et électroniques, contre lesquels se sont déjà élevées plusieurs fédérations professionnelles.

Ces projets de loi, qui transposent des directives européennes, devaient être initialement défendus par la ministre Carole Dieschbourg, mais c’est Claude Turmes qui s’y collera. Les mesures envisagées par les auteurs des projets de loi sont jugées contre-productives par la Confédération luxembourgeoise du commerce alors que les maîtres imprimeurs soulignent le risque de perdre des emplois. Le ministre aura fort à faire pour convaincre.

C’est également ce mercredi après-midi que les ministres Yuriko Backes (Finances) et Franz Fayot (Économie) présenteront, comme chaque année, le programme de stabilité et de croissance (PSC) et le programme national de réforme (PNR) qui s’inscrivent dans les obligations européennes des États membres en matière budgétaire.

 

 

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CLC a Grosbusch kritiséieren déi nei Offallgesetzer

RTL « CLC a Grosbusch kritiséieren déi nei Offallgesetzer »

« Et si Mesuren, déi vill Geld wäerte kaschten an héchstwarscheinlech op ekologeschem Niveau net vill bréngen. »

Dat kritiséiert d’CLC am Kontext vum Vott e Mëttwoch an der Chamber vu 5 Gesetzer, déi d’Vermeide vun Offall am Viséier hunn. Souwuel d’CLC wéi och d’Federatioun vun der Alimentatioun an der Distributioun kritiséieren déi legislativ Texter awer ferm. Am RTL-Interview huet de Gerant vun der Firma Grosbusch ënnert anerem erkläert, wisou de Verbuet, fir frëscht Uebst a Geméis ënnert engem Gewiicht vun annerhallwem Kilo anzepaken, net just vu Virdeel wäert sinn.

« D’Liewensdauer vun engem Concomber, déi am Plastik agepaakt ass, ass 4-5 Deeg méi laang. Do kann ee sech froen, ob een déi hëlt, déi am Plastik agepaakt ass, déi sech méi laang hält an domat de Food-waste och minimiséiert gëtt oder ob een op déi méi ekologesch Schinn geet als Supermarché a riskéiert, no 2-3 Deeg se net verkaf ze hunn an ewechzegeheien.« , esou de Goy Grosbusch.

Hei géif versicht ginn, eppes Separates fir de Lëtzebuerger Marché ze maachen, amplaz sech zum Beispill un d’Gesetzgebung aus Frankräich drunzehänken, bedauert iwwerdeems de Gerant vun der Firma Grosbusch.

Frankräich wier de gréisste Produzent a Consommateur vun Uebst a Geméis an Europa an dofir an den Ae vum Goy Grosbusch e gudden Unhaltspunkt.

 

Vu(m) Claudia Kollwelter (Radio), Serge Pauly (Télé)

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Une loi sur les déchets qui n’emballe pas la grande distribution

L’essentiel « Une loi sur les déchets qui n’emballe pas la grande distribution »

La Confédération luxembourgeoise du commerce (Clc) et la Fédération luxembourgeoise de l’alimentation et de la distribution (FLAD) ont appelé lundi au report du vote de la loi sur les emballages et les déchets prévu mercredi.

Fini les fruits emballés, les récipients et couverts à usage unique au restaurant, bienvenue aux centres de recyclage dans les plus grands magasins… Mercredi, un paquet de cinq lois et trois règlements sur les emballages et déchets sera soumis au vote des députés et devrait bouleverser nos habitudes dès 2023.

«Une législation ambitieuse», selon le rapporteur François Benoy (déi Greng), qui impose à tous (commerces, communes, restaurateurs, industries, citoyens ) de limiter les déchets et/ou de faciliter leur recyclage. «Passer d’une société où on jette tout à un système circulaire», précise le député.

Le secteur de la grande distribution assure partager de tels «objectifs environnementaux» et même vouloir «aller plus loin» sur certains points, selon Claude Bizjak, directeur adjoint de la Confédération luxembourgeoise du commerce (clc).

«Pour recycler, prenez vos voitures»

La clc

Pourtant avec la Fédération luxembourgeoise de l’alimentation et de la distribution (FLAD) qui pèse 10 000 emplois au pays, la clc a appelé hier au report du vote, dénonçant une «panoplie de mesures incohérentes», nullement «adaptées» à l’écosystème luxembourgeois. «Le projet actuel risque d’engendrer des inefficiences dans la chaîne d’approvisionnement et de distribution alimentaire résultant en un surcoût pour le client final», ajoute la Confédération.

Ces organisations dénoncent par exemple la redondance des 45 centres de recyclages, bientôt requis dans les grands centres commerciaux, avec le système Valorlux (sacs bleus). Le message serait donc : pour recycler, prenez votre voiture et déplacez-vous en périphérie dans un supermarché pour y déposer vos déchets!», s’offusque la clc.

Texte : Nicolas Martin

 

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E Mëttwoch gëtt an der Chamber e Pak vu fënnef Gesetzer gestëmmt, déi d'Vermeide vun Offall am Viséier hunn.

RTL « Gréng schwätze vu Revolutioun, CLC spuert net u Kritik »

E Mëttwoch gëtt an der Chamber e Pak vu fënnef Gesetzer gestëmmt, déi d’Vermeide vun Offall am Viséier hunn.

Déi Gréng schwätzen an engem Communiqué vun enger Revolutioun am Ëmgang mat de Ressourcen, well an Zukunft solle Staat, Gemengen, d’Butteker an d’Acteure vun der Offall-Gestioun responsabiliséiert ginn. De Motto heescht: Raus aus der « Ewechpuch-Wirtschaft », eran an d’Kreeslaf-Ekonomie.

Dës legislativ Texter sinn awer net onëmstridden: d’CLC zesumme mat der Federatioun vun der Alimentatioun an der Distributioun (FLAD), wouranner quasi all Supermarchéschaînë vertruede sinn, spuert net mat Kritik. Wéi et heescht, géifen déi nei Dispositioune keng reell ekologesch Plus-Value bréngen, och wier de Secteur net vun den zoustännege grénge Ministere consultéiert ginn.

Viséiert ass d’Verhënnere vu Verpackunge respektiv de Recyclage dovunne. Lëtzebuerg géif sech Gesetzer ginn, déi iwwert déi europäesch Offall-Bestëmmunge géifen erausgoen: dës Lëtzebuerger « Extravaganz » géif de Verbraucher eng deier ginn, heescht et vun der CLC an der FLAD. D’Patronats-Vertriedunge soen, datt d’Gesetzer inkoherent an absolut net dem Lëtzebuerger Ökosystem ugepasst wieren.

Fir dëst z’illustréieren, ginn dräi nei Mesuren opgezielt, déi an der Kritik stinn: d’Schafe vu 45 Recycling-Zentren a gréissere Supermarchéen, de Verbuetk fir frëscht Uebst a Geméis ënnert engem Gewiicht vun annerhallwem Kilo an ze paken an d’Aféiere vun enger Consigne op all Gedrénks.De François Benoy ass iwwermuer iwwerdeem de Rapporter vun de kritiséierten Offall-Gesetzesprojeten.

 

 

Vu(m) Roy Grotz (Radio)

 

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