2G+

Paperjam « 2G+: jusqu’à 1.440 autotests par établissement »

La Chambre de commerce annonce la distribution de deux kits de tests par établissement de l’horeca, de l’événementiel et du fitness pour les aider à surmonter le passage au régime 2G+. Ce qui correspond à un total de 160 à 1.440 autotests, selon la taille de l’entreprise.

Une simple vaccination ne suffit plus pour se rendre au cinéma ou au restaurant, depuis le 25 décembre. L’horeca, l’événementiel et les lieux culturels sont passés sous le régime 2G+ . Ce qui signifie qu’en plus d’être vaccinés ou guéris du Covid-19, les clients doivent montrer le résultat d’un test négatif en cours de validité (soit un PCR de moins de 48 heures, soit un antigénique certifié de moins de 24h) ou effectuer un autotest sur place. Seules les personnes ayant reçu leur dose de rappel en sont exemptées. «Le 2G+ peut être remplacé par la règle de distanciation de deux mètres avec places assises et port du masque», précise la Chambre des députés.

 

 

 

Lire l’article en entier en cliquant ici.

Consulter les articles de la clc dans la presse.

autotest

Distribution gratuite d’autotests antigéniques aux entreprises des secteurs Horeca, de l’événementiel et du fitness

Distribution gratuite d’autotests antigéniques

Dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19 et de l’élargissement des restrictions impactant plusieurs secteurs, le Gouvernement et la Chambre de Commerce fournissent gratuitement deux kits d’autotests antigéniques Covid-19 aux exploitants d’établissements relevant des secteurs Horeca, de l’événementiel et du fitness. La distribution des tests est organisée par la Chambre de Commerce, en collaboration avec la Chambre des Métiers, l’Horesca et la confédération luxembourgeoise du commerce.

Le premier kit pourra être retiré à partir du 29 décembre 2021 et le deuxième à partir du 5 janvier 2022 à la Luxexpo The Box. Veuillez noter qu’une récupération des deux kits ensemble est uniquement possible à partir du 5 janvier 2022.

En ligne avec la stratégie du Gouvernement en matière de dépistage et de lutte contre le virus et conformément à la Loi modifiée du 17 juillet 2020 sur les mesures de lutte contre la pandémie Covid-19, les clients souhaitant consommer dans un établissement du secteur HORECA ou faire du sport à l’intérieur d’un club de fitness devront se prémunir soit d’un test autodiagnostique servant au dépistage du SARS-CoV-2 réalisé sur place, et dont le résultat est négatif, soit d’un test TAAN, soit d’un test antigénique rapide SARS-CoV-2 en cours de validité, pour autant qu’ils ne sont pas en mesure de présenter un certificat de vaccination avec rappel (booster), correspondant à une 3ème dose de vaccin. Ceci signifie que tous les clients accueillis dans l’enceinte d’un tel établissement, disposant d’un certificat de vaccination avec 2 doses (sans booster) ou bien de rétablissement valide seront soumis à ce dépistage rapide sur place, conformément aux mesures additionnelles annoncées par le Gouvernement le 22 décembre 2021 (régime “2G+”) à moins de pouvoir présenter un autre test en cours de validité. La démarche choisie permettra de garantir la sécurité sanitaire des clients et des employés du secteur, d’avoir une vue d’ensemble représentative sur des foyers d’infection potentiels dans le secteur et d’éviter des situations propices à la transmission du virus.

Cette démarche commune du Gouvernement et de la House of Entrepreneurship de la Chambre de Commerce a pour objectif de garantir la sécurité sanitaire des clients et des employés du secteur et d’éviter la transmission du virus.

 

Lire le Communiqué de presse de la Chambre de Commerce en entier en cliquant ici.

Consulter les articles de la clc dans la presse.

bienvenu à Tom

CONNECT by clc – Édito « Bonne continuation Nicolas et bienvenu à Tom ! »

bienvenu à Tom

Chers Membres, Chers Lectrices, Chers Lecteurs,

Une page se tourne puisque, comme vous le savez certainement déjà, à l’heure où vous lisez ce magazine, Tom Baumert a succédé à Nicolas Henckes à la direction de la clc, depuis le 1er décembre dernier.

Et puisque j’ai la chance de pouvoir m’adresser à vous au travers de cet édito, je souhaiterais remercier Nicolas pour nos quatre années et demie de collaboration. Quel chemin parcouru ! Que de discussions – parfois négociations ! – et de décisions prises, toujours dans un seul but, celui de rendre la clc plus forte et plus influente dans l’intérêt de nos membres et des secteurs qui sont les nôtres.

Nous allons désormais continuer sur cette route avec Tom Baumert à qui je souhaite la bienvenue à bord de notre beau bateau. Il apportera sans nul doute à la clc sa connaissance de notre écosystème économique et son expérience dans le support aux petites et moyennes entreprises. Dans les prochaines semaines, il viendra vers chacun d’entre vous afin de vous présenter notre vision et notre stratégie pour le futur de la clc. En attendant, n’hésitez surtout pas à continuer à vous adresser à vos contacts privilégiés au sein de l’équipe de la clc, qui elle ne change pas et est toujours là pour vous apporter son meilleur support.

Même si nous avons pu observer un semblant de retour à la normalité dans la vie de tous les jours, certains de nos secteurs souffrent encore des répercussions de la crise sanitaire. Nous espérons que la situation ne se dégradera pas plus afin de ne pas tomber dans une gravité encore plus grande impactant l’économie mais aussi l’humain.

Et, puisque nous sommes dans une phase de transition, nous avons choisi de vous présenter, dans notre Grand Format, les programmes d’accompagnement de l’agence nationale luxembourgeoise de l’innovation “Luxinnovation”. Si vous pensez qu’ils ne s’adressent qu’aux grandes entreprises, eh bien vous n’avez pas tout à fait raison… Luxinnovation propose cinq programmes spécialement destinés aux TPE et PME dans nos secteurs. Accompagnement personnalisé, aides financières et experts sélectionnés pour l’excellence de leur savoir-faire. Pour en bénéficier, il suffit de vous adresser à la House of Entrepreneurship ou de les contacter directement et vous obtiendrez les tous premiers conseils et orientations vers la formule la plus adaptée à vos besoins, en fonction de votre situation et objectifs. Alors pourquoi vous en priver ?

Dans ce numéro nous avons également donné pour la première fois la parole à Monsieur Franz Fayot, Ministre de l’Economie. Il fait un premier bilan des mesures prises depuis le début de la crise sanitaire et évoque les pistes de travail à mener pour les semaines et mois à venir.

J’adresse enfin beaucoup de courage et de force à tous les membres de la clc pour cette fin d’année et vous souhaite de joyeuses fêtes, nous l’espérons, en bonne santé.

 

Lire l’Edito en entier en cliquant ici.

Lire notre CONNECT by clc en entier en cliquant ici.

Posted in clc
tests antigéniques rapides

Communiqué de presse : « Les tests antigéniques rapides ne seront pas certifiés en officine durant les gardes des jours fériés de fin d’année »

tests antigéniques rapides

A la suite des annonces gouvernementales d’aujourd’hui, d’une demande énorme de la part de la patientèle quant à la certification de tests antigéniques rapides (TAR) et d’une capacité limitée en officine, le Syndicat des Pharmaciens annonce que les pharmacies de garde durant les jours fériés de fin d’année ne réaliseront pas de certification de tests rapides.

Nous soulignons que la priorité absolue des pharmacies reste la dispensation des médicaments et demandons à la patientèle de ne pas encombrer les lignes téléphoniques pendant les services de garde pour demander des rendezvous pour des TAR.

La liste des pharmacies qui réalisent des tests antigéniques rapides endéans de leur heures d’ouverture peut être consultée via le site www.pharmacie.lu et le site du gouvernement www.covid19.lu. Il est conseillé à toute personne de contacter l’officine en question en amont, afin de s’informer de la procédure spécifique. Il est aussi à souligner que les tests sont seulement réalisés par quelques officines lors des gardes normales. Le SPL met également en garde contre des délais d’attente et des
honoraires plus élevés (rajout des taxes de dérangement).

Les frais du test sont à charge de la personne souhaitant se faire tester.

*Les patients présentant des symptômes s’apparentant à une contamination au Covid19 sont priés de ne pas se rendre en pharmacie.*


 

Lire le communiqué de presse en entier en cliquant ici.

livres

Découvrez tous les mois les coups de cœur des libraires luxembourgeois !

Les libraires luxembourgeois

Qu’aimez-vous venir faire dans une librairie ? « J’adore y dénicher le livre que je ne cherche pas ! »

Pour vous accompagner dans les trouvailles des pépites de la littérature luxembourgeoise, la Fédération Luxembourgeoise des Libraires (FLL) a lancé une initiative commune autour du livre. Chaque mois, dans les Bestseller Bicher aus Lëtzebuerg, un.e libraire partagera les coups de cœur de sa librairie dans les catégories romans, livres pour enfants et ouvrages spécialisés luxembourgeois.

 


Les libraires luxembourgeois

Vous souhaitez en savoir plus sur la Fédération Luxembourgeoise des Libraires ?

La Fédération Luxembourgeoise des Libraires compte actuellement 15 membres. L’association a pour objet de représenter les intérêts de ses membres auprès d’autorités, organismes culturels et autres institutions ou organisations, tant au Luxembourg qu’à l’étranger; développer les relations confraternelles entre ses membres et d’organiser les relations publiques en faveur du livre et la promotion de la lecture

 


 

Cliquez ici pour découvrir la liste complète des coups de coeur de la librairie Bicherhaischen.

Visitez le site web de la FLL.

Cliquez ici pour en savoir plus sur la FLL, Fédération affiliée à la clc.

Impfewierkt

#Impfewierkt – Les membres de l’UEL soutiennent la campagne de vaccination nationale

Impfewierkt

Combien sont-ils les anti-vaccins? Quel volume représentent ces réfractaires à recevoir le sérum devant les protéger de toute forme grave de l’infection covid? Une récente étude de l’Uni parlait de 14%. Une minorité donc, mais une minorité bien visible dans la rue, sur les réseaux sociaux et dans le débat public. Au point que les 86% d’habitants favorables (ou a minima non opposés) à la protection vaccinale avaient fini par devenir transparents. Mais les temps changent et les heurts de samedi dernier, dans la capitale, ne sont certainement pas étrangers à cette subite mobilisation.

Le ministère de la Santé a décidé, lui, de communiquer sur les «Cinq bonnes raisons de se faire vacciner». Bon moyen de refaire passer des informations comme «La vaccination empêche de nouveaux confinements».

 

Mais d’autres mouvements s’organisent.

Non plus dans l’ombre, mais bien aux yeux de tous. #Impfewierkt – Comme cette action symbolique portée par l’Union des entreprises luxembourgeoises (UEL), la Chambre des métiers, la Chambre de commerce, la FEDIL, la Confédération luxembourgeoise de commerce, la Fédération des artisans, l’Association des Banques et Banquiers Luxembourg (ABBL) et l’Association des compagnies d’assurance (ACA). Toutes ont décidé d’afficher le mot «impfen», «vacciner» ou «vaccinate» dans leur identité visuelle.

Dans l’opinion publique aussi les choses bougent. Pas question de ne laisser le pavé qu’aux adversaires de la campagne vaccinale. MArche, voilà un collectif de citoyens qui veut faire barrage à «toutes formes d’actions violentes et anti démocratiques». Le tout de façon non violente. Ce groupe Nous, Citoyens du Luxembourg répond là à l’appel au calme lancé conjointement par le Premier ministre aussi bien que par l’ensemble de la classe politique.

Il s’agirait donc de signifier son soutien à la vaccination anti-covid («seule solution disponible de sortie de crise») en… faisant du bruit, cette fois. Chacun est invité, ce samedi midi, à applaudir, klaxonner, taper sur des casseroles, bref exprimer de façon sonore «à l’air libre» sa volonté de ne pas céder face à ceux qui tentent d’imposer leurs vues à coups de mouvements violents, et de respecter «la vérité scientifique».

 

 

Lire l’article en entier en cliquant ici.

Consulter les articles de la clc dans la presse.

Informations et précisions sur la généralisation du régime CovidCheck en entreprise

Nous attirons toutefois votre attention sur le fait que le projet de loi n’a pas encore été voté et qu’il faudra donc attendre les débats et le vote du texte pour une totale certitude.

Généralisation du CovidCheck
Il est prévu que le régime CovidCheck sera applicable dans les locaux des entreprises et ceci pour les salariés ET pour les externes. Auront accès aux locaux, les personnes 3G, à savoir les guéris, les vaccinés, et les testés.
Rappelons que le régime CovidCheck permet de se libérer du port du masque et de l’obligation de distanciation sociale.
Veuillez noter que pour les activités et les établissements dits de « loisirs » tels que les restaurants ou encore les activités sportives ou culturelles, seuls les certificats de vaccination et de rétablissement (« 2G ») sont admis comme justificatifs afin d’accéder à des établissements placés sous ce régime ou des évènements ayant lieu sous ce régime. Les activités sportives ou culturelles sont concernés dès que plus de 10 personnes participent à ces activités. Des exceptions sont prévues pour les enfants de moins de 12 ans et deux mois.
Les salariés de ces établissements sont eux, placés sous le régime 3G.
Les établissements ou les activités qui sont obligatoirement soumis au régime CovidCheck sont exemptés de la procédure de notification à la direction de la santé.

► Les nouvelles jauges de rassemblements
Tout rassemblement qui met en présence entre 51 et 200 personnes incluses, est soumis à la condition que les personnes portent un masque et se voient attribuer des places assises en observant une distance minimale de deux mètres. Tout rassemblement entre deux cent une et deux mille personnes incluses est soumis au régime CovidCheck. Tout rassemblement au-delà de deux mille personnes est interdit.
Toutefois, les événements accueillant plus de deux mille personnes, lorsqu’ils font l’objet d’un protocole sanitaire à accepter préalablement par la Direction de la santé.

Le protocole doit être notifié à la Direction de la santé par voie de lettre recommandée avec accusé de réception par l’organisateur de l’événement. La Direction de la santé dispose d’un délai de dix jours ouvrables dès réception du protocole pour accepter celui-ci. Passé ce délai, le silence de la part de la Direction de la santé vaut acceptation refus du protocole. En cas de non-acceptation du protocole, la Direction de la santé émet des propositions de corrections et les notifie par voie de lettre recommandée avec accusé de réception. Le protocole adapté doit faire l’objet d’une nouvelle notification.

► Possibilité de mettre en place des exceptions
Hormis les établissement soumis au régime 2G, l’entreprise pourra définir des zones où le régime CovidCheck n’est pas applicable pour pouvoir accueillir des externes ou des clients. Le port du masque et les règles de distance sociale s’appliqueront alors pour tous, externes comme salariés.
A ce stade, nous interprétons la loi dans ce sens, qu’en ce qui concerne le transport routier, les employeurs peuvent définir la cabine de conduite comme une zone d’exception, sans CovidCheck. Nous allons tenter d’obtenir une confirmation de la part du gouvernement et enverrons les précisions au secteur.

► Validité des tests
La durée de validité des tests TAAN (test d’amplification des acides nucléiques à l’aide d’une PCR) passe de 72 à 48 heures.
La durée de validité des tests TAR (tests antigéniques rapides certifiés) passe de 48 à 24 heures. Autrement dit, les salariés non vaccinés et non guéris devront se faire tester tous les jours ou tous les deux jours.
Les tests sont payants et à la charge des salariés. Toutefois, ils sont gratuits entre les deux doses de vaccin. Il vous est libre de décider de rembourser le coût des tests à vos salariés.
Par ailleurs, nous vous conseillons de rendre vos salariés attentifs aux délais d’attente pour les résultats de ces tests, qu’ils devront donc anticiper. Les résultats de tests de 24 heures seraient donc peut-être moins longs à obtenir, mais plus contraignants.

► Sans CovidCheck
Un salarié ou un externe qui ne veut pas se faire tester ou qui refuse de se présenter au CovidCheck ou encore qui n’a pas de certificat valide, se verra refuser l’accès à l’entreprise ou à tout lieu d’exécution de son contrat (de travail).

Le salarié devra poser congés avec l’accord de l’employeur, sur base de l’article L.233-10 du code du travail.

Si l’employeur refuse le congé, le salarié pourra donc repartir, sans solde pour la durée de son absence, mais avec la garantie de ne pas être licencié pour ce motif. Si le salarié n’a pas de solde de congés disponibles, il pourra prendre un congé sans solde.
Par ailleurs, l’absence sans solde n’aura pas pour conséquence une désaffiliation du Centre commun de sécurité sociale. Autrement dit, le salarié gardera sa protection sociale pendant 3 mois.

Pour ce qui est du mois de février, l’employeur devra payer 16% de cotisations pension sur une base de 64 heures. Ceci est une mesure technique qui évitera que le salarié perde le mois dans sa carrière d’assurance. La cotisation se calcule sur la moyenne des 3 derniers mois. 8% correspondant à la part salariale des cotisations seront récupérables sur salaire du / de(s) mois suivant(s). P.ex. pour un salarié touchant un salaire brut de 3.000 euros par mois (173 heures de travail), soit 17,34 euros de l’heure, les cotisations pensions à payer pour février pour ce salarié seront de 16% * 17,34 * 64 heures = 180,34 euros (dont la moitié sera récupérable auprès du salarié le mois suivant)

► Modalités du contrôle d’accès aux entreprises
En ce qui concerne les établissements dits « de loisir » amenant à des rassemblements, l’exploitant de l’établissement ou l’organisateur du rassemblement, de la manifestation ou de l’évènement sous régime CovidCheck sera tenu de demander une pièce d’identité à la personne qui lui présente un certificat de vaccination ou de rétablissement afin de s’assurer que l’identité mentionnée sur le certificat présenté et celle figurant sur la pièce d’identité sont identiques.

Pour les autres entreprises, les modalités seront adaptables aux réalités du terrain.
Les contrôles pourront être valables pour 8 heures voire 1 jour de travail, il n’est donc pas nécessaire de contrôler un salarié s’il rentre et sort plusieurs fois par jour.

La loi devrait prévoir que l’employeur pourra traiter des données personnelles liées à la santé du salarié avec le consentement de ce dernier.
L’entreprise pourra procéder à des contrôles d’identité des salariés ou externes pénétrant dans la zone de CovidCheck.
De même, l’entreprise pourra tenir des listes à jour des CovidCheck réalisés avec le consentement des salariés. Ceci permettra d’éviter des contrôles quotidiens pour les salariés ayant accepté ce traitement de données.
L’ITM sera compétente pour contrôler le respect des dispositions introduites dans la loi. Les sanctions prévues dans la loi sur les Mesures Covid-19 seront applicables à l’employeur et aux salariés.

Les infractions constatées sont punies d’une amende administrative de 6.000 euros maximum.

Nous vous tiendrons bien évidemment informés de toute évolution comme de tout changement et nous organiserons également un webinar dès que la loi aura été votée.

Bien à vous,

La clc.

Découvrez deux nouvelles propositions de services par Mediation et Meetincs !

Mediation et Meetincs

A la clc, l’une de nos missions est la mise en relation de nos membres pour favoriser l’échange et le développement de chaque entreprise. Ainsi, nous croyons fortement que votre expertise peut être utile aux autres membres ! Un peu comme une « Marketplace » d’e-commerce, la clc invite toutes ses entreprises membres à proposer des services selon son domaine d’activité, aux autres membres, avec un avantage spécial que les non-membres n’auront pas.

 

MEETINCS c’est l’expertise en traduction dans plus de 60 langues !

Afin de vous apporter une aide professionnelle dans le domaine de la traduction écrite, la clc propose la solution de MEETINCS qui pourra non seulement traduire mais aussi assermenter vos textes et documents dans plus de 60 langues différentes.

 

♦ Avantages Membres clc

Le collaboration de la clc avec MEETINCS vous permet de bénéficier d’une remise de -30 % sur toutes les traductions assermentées de RCS.

► Offre valable pour toute commande passée avant le 1er janvier 2022. Le code CLCmembre doit être mentionné lors de la demande de devis effectué par email.

► Vous souhaitez plus d’informations sur l’offre ? N’hésitez pas à contacter David de MEETINCS sur translations@meetincs.lu ou 45 99 45 202/

► Consultez également la page sur les informations en traduction de MEETINCS ici.

 



Mediation : avez-vous besoin de personnel de vente ou d’hôtesses d’accueil pour les fêtes de fin d’année ?

Afin de soutenir la période chargée de fin d’année dans les commerces, la clc propose la solution de « Mediation » qui met à disposition de ses clients du personnel formé et multilingue, en fonction du besoin.

Que ce soit pour une animation ponctuelle en magasin ou une prestation plus longue pour accroitre votre force de vente, Mediation prend en charge la globalité du projet (de la formation au reporting en passant par la personnalisation de la tenue) ou des prestations isolées.

 

♦ Avantages Membres clc

La collaboration de la clc avec Mediation vous permet de bénéficier d’une réduction de 15% sur les services de la Mediation Field Academy et notamment sur la mise à disposition d’hôtesses ou encore sa formation 3 en 1: initiation au Luxembourgeois, Secrets de l’accueil et de la vente.

►  Vous souhaitez plus d’informations sur l’offre ? N’hésitez pas à contacter Mediation au +352 45 67 45 1 ou par email sur mediation@mediation-sa.lu en indiquant le code de la remise « CLC15 »

Toutes les informations en cliquant ici.

 

 


Meetincs


 

Retrouvez toutes nos offres de collaborations pour nos membres sur la page dédiée de notre site web.

Vous êtes membre de la clc et vous souhaitez nous proposer une collaboration selon votre domaine d’expertise ? N’hésitez pas à nous contacter sur marie-laure.moreau@clc.lu

Posted in clc
événementiel

Paperjam « Le secteur de l’événementiel favorable au 2G+ »

Le secteur de l’événementiel luxembourgeois veut faire face à la vague épidémique et assure être en capacité d’organiser des événements sous protocole 2G, et même 2G+.

Le gouvernement a durci le ton face aux non-vaccinés. Sous peu, les événements de plus de 200 personnes seront donc soumis au protocole 2G, c’est-à-dire «vacciné ou guéri». Une restriction qui n’inquiète pas le président de la Luxembourg event association (LEA) , Charles Schroeder.

Depuis le mois de septembre, le secteur de l’événementiel a senti souffler le vent de la reprise. Les entreprises ont recommencé à organiser différents événements et elles ont également planifié des festivités pour la fin de l’année. Mais l’aggravation subite de la situation sanitaire en Europe change la donne.

Confiantes il y a encore quelques semaines, les entreprises hésitent désormais à maintenir les réjouissances prévues. «La tendance est en effet aux annulations. On tente de rassurer nos clients en expliquant que nous sommes en mesure de mettre en place des protocoles sanitaires efficaces. Mais les entreprises veulent rester très prudentes», assurent deux professionnels du secteur, qui préfèrent rester discrets sur ce sujet délicat. «Les entreprises ont peur des clusters», ajoutent-ils. Et d’être ensuite pointées du doigt pour avoir fait preuve de légèreté.

Même discours du côté de Charles Schroeder: «Il y a encore deux semaines, il y avait une très belle demande de la part des entreprises pour des fêtes de fin d’année. Mais on constate désormais un blocage presque psychologique de notre clientèle, des hésitations et plusieurs annulations. Elle voit les chiffres monter et les situations se dégrader en Belgique et en Allemagne, l’Autriche qui se confine et le monde politique qui invite la population à la prudence et à éviter les contacts».

 

 

 

Lire l’article en entier en cliquant ici.

Plus d’informations sur la LEA – Luxembourg Event Association, fédération affiliée à la clc.

Consulter les articles de la clc dans la presse.

Entreprises

Paperjam « Il faut laisser faire le marché »

 

Ce 1er décembre, Tom Baumert aura la lourde tâche de prendre le relais de Nicolas Henckes à la direction de la clc. Celui qui s’est rapidement frayé une place dans les arcanes du patronat évoque ses priorités avec, en filigrane, une approche libérale assumée.

 

La crise a-t-elle eu un impact sur l’esprit d’entreprendre?

Tom Baumert. – «L’impact a été très faible selon ce que j’ai perçu via la House of Entrepreneurship. Il est évident qu’en mars, avril et mai 2020, les demandes qui nous ont été adressées sont tombées à un niveau très bas, mais nous sommes entre-temps revenus au niveau de 2019, nous l’aurons même probablement dépassé d’ici à la fin de l’année. J’ajoute que la crise et les confinements ont aussi été des moments mis à profit par certains pour décider de devenir entrepreneur. Sans compter que nous n’avons pas encore connu cette vague de faillites d’entreprises tant redoutée en raison des confinements et de la pression qui était mise sur le cash des entreprises, en particulier dans l’événementiel, le tourisme et l’horeca. Nous devons toutefois rester prudents et surtout attentifs à l’égard des secteurs du tourisme et de l’événementiel.

 

Craignez-vous que les répercussions réelles de la crise arrivent d’ici quelques semaines, à mesure que les effets des aides du gouvernement touchent à leur fin? 

«Je suis davantage préoccupé par les restrictions sanitaires avec lesquelles les commerces doivent composer que par la fin des aides, en particulier dans l’horeca, qui risque de perdre une partie de la clientèle qui n’est pas vaccinée et qui ne voudra probablement pas effectuer un test payant à chaque fois. Il est inévitable que la poursuite des restrictions entraîne un impact, soit avec des fermetures, soit avec une refonte du business model de certaines entreprises. Le même constat vaut pour le secteur du voyage, et évidemment l’événementiel. Je reste néanmoins optimiste et je pense que, d’ici au printemps 2022, on devrait être sortis de la phase pandémique. Il reste six mois à affronter, mais avec des restrictions moins fortes que par le passé, les conséquences devraient être gérables.

 

Faut-il lever certaines restrictions sanitaires? 

C’est mon avis personnel, mais à un moment donné il faut dire que l’État doit laisser la liberté à chacun de se faire vacciner en connaissance de cause. La communication a déjà été effectuée sur le sujet, chacun dispose de suffisamment d’informations pour prendre une décision. Je suis vacciné par conviction, mais je sais que beaucoup le sont pour retrouver une liberté. Mais jusqu’à quel moment cette partie de la population va-t-elle accepter des restrictions? Si l’on motive les gens à se faire vacciner pour recouvrer leur liberté, autant leur redonner une liberté totale si on veut susciter leur adhésion lors des prochaines campagnes de vaccination.

 

Faut-il imaginer de nouvelles aides, plus ciblées, pour les secteurs que vous venez d’évoquer? 

«J’aurais plutôt tendance à ne pas cibler de nouvelles aides, car il y aura toujours des exceptions dans chaque secteur. Je plaiderais plutôt pour une nouvelle aide conditionnée à une perte de chiffre d’affaires à déterminer.

 

Que faut-il prévoir comme mesures pour favoriser la relance économique?

«Je pense tout d’abord à un signal qui serait adressé aux indépendants, en particulier aux petits indépendants, qui ont effectué des sacrifices durant la crise, à savoir leur donner la possibilité de toucher le chômage partiel au même titre que leurs équipes. L’inscription d’une telle possibilité dans la loi représenterait un pas important pour ces entrepreneuses et entrepreneurs. Si on parle de relance, je pense aussi spontanément aux bons d’hôtels qui ont déjà bien fonctionné. Pourquoi ne pas utiliser à nouveau ce procédé ou le décliner à d’autres desseins? Je pense aussi à des aides pour permettre aux entreprises de disposer de liquidités, par exemple via les instruments dont dispose la Société nationale de crédit et d’investissement (SNCI).

 

Faut-il limiter l’usage des chèques-repas aux restaurants pour les soutenir durant la période que nous traversons?

«Les supermarchés proposent aussi une partie de restauration. Je verrais dans cette décision une intervention de l’État assez forte et finalement assez difficile à mettre en place.

 

Lire l’article en entier en cliquant ici.

Consulter les articles de la clc dans la presse.