Une page se tourne pour Nicolas Henckes, qui laissera sa place dès demain à Tom Baumert à la Direction de la clc !
Mais avant de partir, il a souhaité adresser ces quelques mots aux membres.
Départ Nicolas Henckes
Une page se tourne pour Nicolas Henckes, qui laissera sa place dès demain à Tom Baumert à la Direction de la clc !
Mais avant de partir, il a souhaité adresser ces quelques mots aux membres.
Départ Nicolas Henckes
Académie de l’immobilier
La Chambre Immobilière du Grand-Duché de Luxembourg est heureuse d’annoncer la naissance d’un nouveau Centre de Compétences destiné au secteur de l’immobilier et baptisé Académie de l’Immobilier. Cette académie offre un système de formation professionnelle continue, destiné spécifiquement aux entreprises du secteur de l’immobilier.
L’Académie de l’Immobilier vient agrandir une famille déjà étendue de Centres de Compétences, comme les Centres de Compétences Génie technique du Bâtiment et Parachèvement, créés il y a 5 ans. Forte de l’expérience réussie de ses aînés, l’Académie de l’Immobilier entend proposer un système de formation professionnelle continue sectoriel, cohérent et structuré, s’inscrivant dans le Cadre européen des Certifications (CEC) et conforme à la législation en matière de formation professionnelle continue.
Sa création répond à un besoin manifeste de la part des entreprises du secteur de l’immobilier et de ses salarié(e)s de faire face notamment :
Pensée pour les 800 entreprises du secteur et ses 2 000 salariés, l’Académie propose tout un ensemble de formations techniques, technologiques, économiques, juridiques ou managériales à destination des professionnels de l’immobilier.
Dispensées par des formateurs aguerris, formés aux derniers développements techniques et régulièrement évalués, toutes les formations poursuivent un triple objectif :
Ce nouveau système de formation proposé par l’Académie de l’Immobilier est régi par l’Accord interprofessionnel signé le 28 octobre 2021 entre la Chambre Immobilière du Grand-Duché de Luxembourg et les syndicats représentatifs sur le plan national, le LCGB et l’OGBL, qui est basé sur les dispositions légales du Code du Travail, Art. L. 165-1.
Comme pour les Centres de Compétences de l’Artisanat, cet Accord stipule que toute entreprise disposant d’une autorisation de commerce en tant que syndic, promoteur ou agence doit obligatoirement contribuer à hauteur de 0,5% de sa masse salariale à l’Académie de l’Immobilier.
En contrepartie, les entreprises du secteur de l’immobilier peuvent alors, si elles le souhaitent, y envoyer leurs salarié(e)s suivre des formations gratuites.
L’Académie de l’Immobilier proposera un large éventail de formations adaptées aux besoins des entreprises du secteur de l’immobilier, soit par l’intermédiaire de son catalogue, soit par des interventions sur-mesure.
Elles auront ainsi l’assurance d’avoir des collaborateurs et collaboratrices disposant des dernières compétences en matière immobilière et prêts à conseiller au mieux leur clientèle. Un avantage indéniable lorsque l’on connaît l’incroyable expansion du marché de l’immobilier au Luxembourg.
En Dënschdeg de Moie war de President vun de Lëtzebuerger Reesagencen, Fernand Heinisch, eisen Invité vun der Redaktioun.
Der Reesbranche geet et net gutt wéinst der Corona-Kris. Minus 50 Prozent am klassesche Reesbürosgeschäft am Verglach mat 2019 a minus 80 Prozent bei Croisièren a Geschäftsreesen. Dat sot de Fernand Heinisch, de President vun der Unioun vun de Lëtzebuerger Reesagencen, den Dënschdeg de Moien am RTL-Interview. Hie war eisen Invité vun der Redaktioun.
Besonnesch déi wäit Reesen an d’Croisièrë wieren ewechgefall an dat deet speziell wéi. Et géif een awer positiv bleiwen, och wann d’Projektioune fir dat nächst Joer nach ëmmer vu Perten ausginn. 2023, sou gëtt gehofft, wier een dann awer nees um Niveau vu virun der Pandemie.
Bis ewell hätten awer keng Rees-Agencë missen zoumaachen, just eenzel Büroen, déi zu enger grousser Chaîne gehéieren. Dat wier de staatlechen Hëllefen ze verdanken. Ouni Aidë géif een et net packen, déi finanziell Pertë wäre kaum ze droen. Et bräicht een dräi bis fënnef Joer, fir dat nees opzeschaffen. De Fernand Heinisch hofft, datt d’Aide bis Enn des Joers an och nach bis den nächste Juni verlängert ginn, soss géif et dramatesch ginn.
Nohaltegkeet war den Dënschdeg de Moien och e Sujet. Do sot de Fernand Heinisch, datt Reese méi ëmweltfrëndlech maachen, dauere géif. D’Hotelle wäre schonn zimmlech wäit, fir klimafrëndlech oder CO2-frëndlech ze ginn. Dat éischt Floss-Croisièresschëff wär elo um Maart, dat hybrid fiert. D’Airline géife versichen, méi nohalteg ze ginn. Mä dat géif alles nach Zäit brauchen. Op fräiwëlleger Basis géif kaum ee kompenséieren.
3 minutes avec mon avocat : les conditions générales de vente
La clc s’associe à Arendt & Medernach, membre de soutien, pour proposer à ses membres de courtes vidéos informatives traitants de problématiques actuelles: « 3 minutes avec mon avocat ».
3 minutes avec mon avocat : les différentes formes de pratiques anticoncurentielles
L’avenir des centres commerciaux luxembourgeois
Entre évolution des attentes des consommateurs, digitalisation, concurrence accrue et crise sanitaire, les centres commerciaux sont confrontés à de multiples défis. Analyse avec Claude Bizjak, Directeur adjoint de la Confédération luxembourgeoise du commerce (clc).
La crise sanitaire semble avoir donné un coup d’accélérateur à la pratique de l’e-commerce. Est-ce le cas dans les faits, au Luxembourg ? Les commerces physiques en souffrent-ils ?
L’e-commerce a en effet connu une importante croissance au cours de ces dernières années, qui s’est encore renforcée depuis le début de la pandémie de Covid-19 et les confinements. Au niveau mondial, il a ainsi progressé de 19 % en 2019. Pour 2021, les prévisions sont de +22 %. De nombreux consommateurs se sont dirigés vers l’e-commerce, tout simplement parce qu’il n’a avait pas vraiment d’autre choix. […]
Après l’ACL et l’ULC, le Groupement des entrepreneurs de transports demande le gel de la taxe sur le CO2, qui pénalise les transporteurs routiers, alors que les prix des produits pétroliers augmentent partout en Europe.
Le Groupement des entrepreneurs de transports se joint à la demande déjà formulée par l’Automobile Club Luxembourg (ACL) et l’Union luxembourgeoise des consommateurs (ULC) : le gel de la taxe CO2.
Pour rappel, depuis le 1er janvier dernier, chaque tonne émise est taxée à hauteur de 20 euros. Une taxe qui avait fait grimper les prix à la pompe d’un peu plus de 5 centimes par litre de carburant et de 6,9 centimes pour le mazout. Cette taxe doit augmenter de cinq euros le 1er janvier 2022. Ce qui ferait grimper les prix des carburants d’environ 1,5 centime par litre, selon les premières estimations. Une taxe qui, ajoutée à la hausse des prix des produits pétroliers en Europe (+31% au Luxembourg), inquiète les consommateurs, mais aussi les professionnels, qui ne voient pas d’alternative.
Ces derniers jugent cette taxe inefficace sur leur secteur, puisque «faute d’alternative, les poids lourds continuent à rouler au diesel». Et ne diminuent donc pas leurs émissions de CO2. Le groupement demande à la place une stratégie concrète pour décarboniser le transport routier.
«Le diesel représente un tiers des frais totaux des transporteurs», ajoute le Groupement des entrepreneurs de transports. «La hausse des prix des carburants se ressent non seulement à la pompe, par une réduction des marges bénéficiaires des transporteurs, mais aussi par une augmentation générale des prix des biens et services payés par les consommateurs.» Le secteur souffre aussi de l’inflation provoquée par des pénuries de marchandises et de matières premières, et du manque de chauffeurs «de plus en plus marqué». Une accumulation qui fait qu’il serait «complètement irresponsable de jeter de l’huile sur le feu en appliquant une nouvelle tranche de la taxe CO2 à partir du 1er janvier 2022», conclut le groupement.
Il représente 200 membres affiliés au Luxembourg d’un secteur qui emploie environ 8.000 salariés.
Pour les ménages, cette nouvelle taxe est assortie d’un supplément de crédit d’impôt, notamment pour les ménages les plus modestes afin de neutraliser ou rendre progressive l’incidence fiscale de cette taxe pour rendre l’impact plus important pour un ménage avec un niveau de vie plus élevé. Interrogé sur une compensation pour les transporteurs, un porte-parole du ministère de l’Énergie admet qu’il n’y en a pas, mais cite les aides du ministère de l’Économie pour les entreprises qui investissent dans leur verdissement.
Interrogé sur la possibilité de geler la hausse en janvier prochain comme demandé, il indique que la position du ministre reste la même. Il avait indiqué, la semaine dernière, à la Chambre des députés, ainsi que lors d’une interview accordée à RTL, qu’il ne comptait pas la geler, estimant qu’il s’agirait d’un mauvais signal.
L’année dernière, deux mois avant l’entrée en vigueur de la taxe CO2 à hauteur de 20 euros, le Statec avait estimé qu’elle permettrait une baisse de la consommation de carburants de 8% en 2021, et de 15% à l’horizon 2023. Cette taxe CO2 devrait, d’un autre côté, induire une diminution de 6% des émissions de gaz à effet de serre dès 2021, et de 11% à l’horizon 2023. L’année n’étant pas encore terminée, il est difficile de vérifier ces chiffres.
Gel de la taxe sur le CO2
Le Groupement des Entrepreneurs de Transports soutient la proposition d’un gel de la taxe sur le CO2, dont une nouvelle tranche est susceptible d’entrer en vigueur le 1er janvier 2022. La hausse du coût des carburants, qui est d’environ 30% au Luxembourg en 2021, a fait augmenter le coût du transport, le diesel représentant 1/3 des frais totaux des transporteurs. Ainsi, la hausse des prix des carburants se ressent non seulement à la pompe par une réduction des marges bénéficiaires des transporteurs mais aussi par une augmentation générale des prix des biens et services payés par les consommateurs.
Depuis quelques mois, nous vivons une période d’inflation provoquée par des pénuries de certaines marchandises et matières premières. A cela s’ajoutent des goulets d’étranglement de la chaîne d’approvisionnement causés par un manque de chauffeurs de plus en plus marqué dans notre secteur d’activité. Dans le contexte actuel, il est complètement irresponsable de jeter de l’huile sur le feu en appliquant une nouvelle tranche de la taxe CO2 à partir du 1er janvier 2022.
Depuis son introduction, le Groupement Transports déplore que la taxe CO2 n’ait aucun effet sur les émissions de CO2 des sociétés de transports, car faute d’alternative, les poids lourds continuent à rouler au diesel. En tant que plus grand contributeur de la taxe CO2, les sociétés de transports devraient être soutenues par le gouvernement dans leurs efforts de décarbonisation, mais en réalité elles sont exclues de toutes aides étatiques et aucune stratégie permettant de décarboniser le transport routier n’a été dévoilée à ce jour. Au lieu de punir certains secteurs économiques, nous appelons vivement les décideurs politiques à collaborer avec les acteurs du terrain pour trouver des solutions face à ses défis. Autrement la transition énergétique sera un échec !
accompagnement RSE
La clc accompagne ses membres dans leurs premiers pas vers une démarche RSE en mettant à leur disposition une coordinatrice RSE, Agnès Coupez. Sous forme d’une formation en petit groupe, elle vous aidera à comprendre les 3 piliers de la RSE, lèvera vos freins en la matière et établira avec vous les grandes étapes de la feuille de route en fonction de votre secteur. Voir site de l’INDR ici.
La RSE est un véritable outil stratégique qui permet de placer votre entreprise à différents niveaux autour de préoccupations sociales, environnementales et économiques. Elle vous permet d’être plus résilient, de développer le potentiel de vos salariés et de réussir votre transition environnementale.
Vivre la RSE va au-delà d’une seule mise en place d’un système de recyclage au sein de votre société, mais plutôt de s’inscrire dans une démarche de développementdurable à tous les niveaux. Une entreprise qui pratique la RSE va donc chercher à avoir un impact positif sur la société, à respecter l’environnement tout en étant économiquement viable et en créant de la valeur partagée.
cle
Si Xavier Bettel a promis la tenue d’une tripartite avant la fin de l’année, la réunion entre gouvernement, syndicats et patronat pourrait bien s’avérer houleuse. Si ces derniers jours, OGBL, CGFP et OGBL pointaient le manque total de concertation de l’équipe Bettel avec les formations représentatives des salariés sur l’application (optionnelle) du CovidCheck en entreprises, cette fois c’est l’UEL qui hausse le ton. L’union des entreprises luxembourgeoises balayant les propositions du projet de loi 1858 signées du ministre du Travail, Dan Kersch (LSAP).
Et l’organisation patronale de tancer le gouvernement qui se fait «le chantre du dialogue social à chaque occasion» mais qui, sur cette réforme substantielle du code du travail envisagée, n’a pas cru bon de devoir échanger avec les partenaires sociaux. Une discussion qui aurait pu avoir lieu pourtant, au sein du comité permanent du travail et de l’emploi. Bref, voilà le nouveau président de l’UEL, Michel Reckinger, fâché de constater ce manque de concertation.
Pourtant, le texte est loin d’être anodin. Il concerne notamment l’accès au chômage partiel. Ainsi, à l’avenir, le nombre d’heures éligibles au chômage partiel par salarié passerait de 1.022 à 1.714 heures. La mesure exceptionnellement accordée dans le cadre de la crise covid deviendrait alors pérenne si le projet de loi devait être voté en l’état.
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