RTL « Gutt Affären ubidden, awer gréisser Mënschemasse vermeiden »

An de Butteker gouf sech ugepasst, Mesuren en place gesat a Methoden ausgeschafft, fir d’Sécherheet vun de Clienten ze garantéieren.

Restauranten a Baren dierfen zanter en Donneschdeg keng Clientë méi empfänken. Ma fir en anere wichtegen Deel vun der Ekonomie fänkt awer grad elo eng wichteg Zäit un: De Commerce. Ëm 60% vum Ëmsaz maachen d’Geschäfter normalerweis virun de Chrëschtdeeg. An och de Black Friday, deen e Freideg ass, soll de Commerce an dësem schwéiere Joer ukuerbelen.

Et huet een sech ugepasst, Mesuren en place gesat a Methoden ausgeschafft, fir dass d’Clientë sech och drun halen. Fir d’Leit an de Geschäfter ze limitéieren, ginn et a verschidde Butteker zum Beispill och elektronesch Léisungen, déi zielen, wéi vill Clientë schonn dobanne sinn. D’Promoen um Black Friday, ma och doriwwer eraus sollen natierlech de Verkaf fërderen. Ma et soll net dozou féieren, dass ze vill Leit op enger Plaz zesumme kommen, betount den David Angel, Zentralsekretär vum OGBL-Syndikat vum Commerce.

« Et ass positiv fir jiddereen am Secteur, dass d’Butteker net hu missen zoumaachen. An dat wier elo dat Schlechtst, wat kéint geschéien, wann elo dëse Weekend erëm géinge Biller entstoe vun iwwerfëlle Geschäfter a vu Corona-Hotspots souzesoen. Dowéinst appelléiere mir do u jidderengem seng Eegeverantwortung, sief et als Employeur, sief et als Client, a mir appelléieren och un d’Salariéen, opzepassen, dass do näischt schif geet dëse Weekend. »

 

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Luxemburger Wort « Le Black Friday ou l’espoir de renflouer les caisses »

Si elle est parfois critiquée, la grande messe de la surconsommation démarre ce vendredi. Et cette année, l’événement revêt une importance particulière. Car si les enjeux sanitaires sont grands en ces temps de pandémie, il pourrait limiter la casse du chiffre d’affaires des boutiques.

Surconsommation, gaspillage ou encore impact sur l’environnement, les promotions et prix bradés du Black Friday attisent les critiques. Bien que ces dernières restent d’actualité, cette année, les voix qui les portent ne semblent pas oser élever le ton face aux dommages collatéraux considérables de la crise sanitaire sur le commerce. Le climat, jusque-là au cœur des préoccupations des opposants à cette tradition américaine, semble littéralement être passé à la trappe.

Amazon reste en revanche plus que jamais dans le viseur, accusé d’avoir «profité de la pandémie» pour «augmenter ses profits» selon ses opposants. Les associations Attac et Rise for Climate ou encore déi Lénk entendent ainsi «faire payer» le géant américain. Mais si une manifestation est prévue ce vendredi devant le siège du groupe au Kirchberg, il semble néanmoins acté que le commerce en ligne fera partie des rares gagnants de la pandémie.

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(Ecrit par Anne-Sophie de Nanteuil)

Paperjam « Le patronat s’étrangle devant la hausse du SSM »

Approuvée vendredi en conseil de gouvernement, la hausse de 2,8% du salaire social minimum ne passe pas auprès du patronat.

Présentée par le Premier ministre Xavier Bettel (DP) comme un signal fort de l’exécutif en faveur des plus démunis face à la crise sanitaire et à ses conséquences sociales, la hausse de 2,8% du salaire social minimum (SSM) à partir du 1er janvier 2021 provoque l’ire du patronat.

«Une telle hausse dans le contexte de crise économique actuel n’est tout simplement pas soutenable», a promptement protesté l’Union des entreprises luxembourgeoises par voie de communiqué. Elle évalue à plus de 60 millions d’euros le surcoût engendré pour les entreprises, qui «impacterait spécifiquement les secteurs qui emploient un grand nombre de salariés rémunérés au SSM alors qu’il s’agit déjà des secteurs qui sont le plus touchés par la crise (minimum 8 millions d’euros pour l’horeca et 15 millions d’euros pour le commerce et le transport)».

Les ténors des organisations patronales ont décliné leur stupéfaction et leur désapprobation sur Twitter. Michel Reckinger , nouveau président de l’UEL, se dit «consterné».

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(Écrit par Camille Frati)

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COVID 19 : Les crèches et les foyers privés lancent un cri d’alarme

LE GOUVERNEMENT DÉCIDE D’AUGMENTER LE SALAIRE SOCIAL MINIMUM – UN SIGNAL FATAL AUX PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES

Le gouvernement a annoncé vendredi dernier une augmentation de 2,8 % du salaire social minimum à partir du 1er janvier 2021.

Dans les milieux des petites et moyennes entreprises, cette nouvelle a eu l’effet d’une bombe. Les très nombreuses réactions, qui ont été rapportées aux associations professionnelles, allaient de l’incompréhension à la colère, en passant par la résignation.

Par les temps qui courent, dans situation actuelle et compte tenu des perspectives peu rassurantes, les indépendants et les entrepreneurs des secteurs de l’horeca, du commerce et de l’artisanat ne s’attendaient certainement pas à une telle décision.

Les entreprises sont en difficulté. Leurs marchés se sont partiellement ou totalement effondrés. Leurs réserves sont épuisées. Les coûts et les dettes s’accumulent de telle façon qu’aucune aide de l’État ne pourrait les absorber.

La décision d’appliquer une augmentation du salaire social minimum dans la situation actuelle est une décision politique. Contre le bon sens économique, contre la capacité des entreprises à préserver les emplois et à en créer de nouveaux et, en fin de compte, contre les salariés employés dans les secteurs concernés.

L’annonce d’une aide directe de 500 euros par employé dans les secteurs particulièrement touchés est certes louable, mais ne modifie pas la situation structurelle des entreprises.  A l’occasion augmentation du salaire social minimum en 2011, dans un contexte également difficile, le gouvernement Juncker-Asselborn avait accordé à toutes les entreprises concernés une compensation financière pour les dépenses supplémentaires.

Deux poids, deux mesures au détriment des indépendants

Le gouvernement justifie sa décision par le fait que personne ne devrait être oublié dans cette crise.  La question se pose alors quel signal le gouvernement envoie aux indépendants dans ce contexte ? Les indépendants sont deux fois plus exposés au risque de pauvreté que les salariés. Néanmoins, en ces temps de crise, le gouvernement leur refuse un salaire de remplacement, comme tout employé y a droit dans le cadre du chômage partiel.

Si le gouvernement n’est pas prêt à assumer la responsabilité économique envers ces entreprises, il devrait au moins assumer sa responsabilité sociale et accorder à ces personnes un salaire de remplacement, comme il le fait pour tout autre assuré. Cela ne doit pas être remis à plus tard, mais doit être décidé et mis en œuvre maintenant. L’UEL a présenté des propositions afférentes dès ce printemps.

Les soussignés demandent au gouvernement de ne pas augmenter le salaire minimum légal dans cette situation et d’assurer aux indépendants une égalité de traitement en matière de sécurité sociale.

 

La Confédération des Classes Moyennes (CCM) est le regroupement de la clc, de la Fédération des Artisans et de l’Horesca qui représente les intérêts de 30.000 petites et moyennes entreprises dans les secteurs du commerce, de l’artisanat et de l’horeca.

 

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Paperjam « L’horeca déçu mais pas surpris »

Le secteur de l’horeca se prépare à une nouvelle fermeture, avec le take-away comme seule alternative. François Koepp, secrétaire général de l’Horesca, regrette de payer pour ceux qui n’ont pas respecté les règles. CLC et FDA sont soulagés, mais attendent le vote de nouvelles aides au plus vite.

L’information a été confirmée ce lundi après-midi : les restaurants, cafés, salles de sport vont devoir fermer à partir de jeudi, et pour au moins trois semaines, tout comme de nombreux lieux culturels. «On s’y attendait», réagit François Koepp , secrétaire général de l’Horesca, qui rappelle que «c’est un coup dur pour le secteur».

La Fédération des hôteliers, restaurateurs et cafetiers, a l’impression que son secteur est le «bouc émissaire pour tous les gens qui n’ont pas respecté les gestes barrière», regrette François Koepp. Il espère que les mesures auront pour conséquence une baisse des infections. «Mais je n’en suis pas tout à fait sûr», se projette-t-il, pointant plutôt du doigt les transmissions qui se font dans le cadre privé. «Ce n’est pas parce que je suis déçu qu’on ferme qu’il faut fermer les autres», ajoute-t-il au sujet des commerces, qui restent pour le moment ouverts. «Mieux vaut laisser ouvert ce qui peut l’être».

Il redemande à ce que les nouvelles aide s, comme la prise en charge des coûts non couverts, soient votées rapidement. Surtout qu’il n’est pas certain que tous les restaurants puissent rouvrir dans trois semaines, étant donné que rémunérer les salariés pendant les jours fériés représente un coût supplémentaire, que tous les établissements ne pourront pas assumer.

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(Écrit par Mathilde Obert et Fabien Rodrigues)

Éco-sac et Superbag® – à réutiliser encore et encore !

Valorlux, la Confédération luxembourgeoise du commerce (clc) et l’Administration de l’environnement lancent une nouvelle campagne de sensibilisation pour inciter les consommateurs à utiliser et à réutiliser leurs sacs de courses réutilisables Éco-sac et Superbag®.

Faire changer les habitudes

Le constat est clair : même si 79,1 % des consommateurs au Luxembourg confirment utiliser des sacs réutilisables lors de leurs achats[1] au lieu d’un sac à usage unique, les consommateurs oublient encore trop souvent leur sac réutilisable au moment de faire leurs courses et achètent un énième sac qui ne sera utilisé que peu voire très peu de fois.

Avec l’objectif de soutenir et d’accompagner les changements de comportements et les habitudes de consommation en incitant les consommateurs à penser à utiliser et à réutiliser des sacs de courses réutilisables plutôt que des solutions à usage unique, Valorlux, l’Administration de l’environnement et la clc, veulent diffuser le message suivant : « Éco-sac et Superbag® vos sacs pour la vie. Réutilisez-les. Encore. Et encore. »

 Les défis à relever

Afin de contribuer à la prévention des déchets en plastique, la loi du 21 mars 2017 relative aux emballages et aux déchets d’emballages impose de réduire durablement la consommation de sacs en plastique légers[2] au Luxembourg. D’ici 2025, le défi sera de maintenir le niveau de consommation annuelle des sacs en plastique à usage unique à 40 sacs maximum par personne et par an. Actuellement les résultats sont de l’ordre de 30,26 sacs en plastique à usage unique légers par personne et par an[3].  Les sacs réutilisables devront donc continuer d’être favorisés dans une époque au cours de laquelle le principe de réutilisation des sacs tend à devenir une norme.

Jusqu’ici, 1,1 milliard de sacs en plastique à usage unique ont été épargnés grâce à l’Éco-sac depuis 2004, soit 7.763 tonnes de plastique ou 17.265.121 litres de pétrole[4]. Lancé il y a plus de quinze ans, la robustesse de l’Éco-sac est reconnue. Disponible à un tarif recommandé abordable auprès des enseignes partenaires du projet, il reste échangeable gratuitement s’il devient trop usé et de ce fait inutilisable. Il est également recyclable.

Entré sur le marché luxembourgeois en 2019, le Superbag®, le sac réutilisable pour fruits et légumes, suit le même modèle de robustesse, de prix de vente abordable, de conditions d’échange et de recyclabilité.

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[1] Source : bureau d’études ECO-Conseil, 2020
[2] Les sacs en plastique légers sont les sacs en plastique d’une épaisseur inférieure à 50 microns.
Les sacs en plastique très légers sont les sacs en plastique d’une épaisseur inférieure à 15 microns nécessaires à des fins d’hygiène ou fournis comme emballage pour les denrées alimentaires en vrac. (Ex. sacs pour fruits et légumes).
Seuls les sacs en plastique légers sont visés par la loi du 21 mars 2017.
[3] Source : Valorlux – Chiffre calculé sur base des déclarations de mises sur le marché de sacs en plastique à usage unique légers, effectuées par les entreprises membres de Valorlux
[4] Source : bureau d’études ECO-Conseil, 2020

Modalités d’application du régime de chômage partiel pour le premier semestre 2021

Suite au Comité de conjoncture qui s’est tenu le 19 novembre 2020, les conditions d’accès par la voie accélérée pour le chômage partiel après le 31 décembre 2020 ont été retenues par les partenaires sociaux. Voici les dispositions pertinentes pour les secteurs de la clc (le communiqué complet du ministère de l’Économie / ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Économie sociale et solidaire peut être revu ici).

 

Conditions d’accès du 1er janvier au 31 mars 2021

 

  1. Les entreprises des secteurs vulnérables horeca, tourisme et secteur évènementiel pourront bénéficier d’un accès accéléré au chômage partiel de source structurelle, sans limitation du nombre de salariés qui y ont droit. En cas de besoin avéré, ces entreprises pourront recourir à des licenciements économiques dans la limite maximale de 25% de leurs salariés calculé sur l’effectif au 30 juin 2020 et ce jusqu’au 31 mars 2021.
  2. Les entreprises touchées par la crise sanitaire, autres que celles relevant des secteurs vulnérables, pourront également avoir recours au chômage partiel de source structurelle par la voie accélérée à condition toutefois de ne pas procéder à des licenciements.
    Dans ce cas le nombre d’heures de travail perdues ne peut pas dépasser 15% du total des heures de travail mensuelles normales de l’entreprise. Les heures de travail normales ne pourront pas excéder 40 heures par semaine et par salarié.
  3. Finalement, les demandes des entreprises des secteurs vulnérables licenciant plus de 25% de leur effectif, de même que des entreprises issues des autres secteurs touchés par la crise qui devraient néanmoins également procéder à des licenciements ou qui devraient dépasser le pourcentage fixé au point 2 ne peuvent le faire qu’à condition que ces entreprises fournissent un plan de redressement pour les petites entreprises de moins de 15 personnes, respectivement sous forme d’un plan de maintien dans l’emploi conforme aux dispositions de l’article L. 513-1 et suivants du Code du travail pour les entreprises occupant plus de 15 salariés.

    Etant donné qu’un risque existe que, sur base de l’évolution négative des infections, des décisions gouvernementales plus incisives pourraient être prises ayant des répercussions immédiates sur certains secteurs ou certaines entreprises, les membres du Comité de conjoncture ont émis un avis favorable en vue de la soumission à la Chambre des Députés par le Ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Economie sociale et solidaire d’un projet de loi visant à lever la date butoir pour l’introduction de demandes de chômage partiel pour cas de force majeure.

 

En ce qui concerne la période après le 31 mars 2021 les modalités suivantes ont été retenues dans un contexte de sortie progressive du chômage partiel, tout en précisant qu’en cas d’aggravation de la situation sanitaire ces modalités pourront à tout moment être adaptées en conséquence.

 

Conditions d’accès du 1er avril au 30 juin 2021 (secteurs clc)

 

  1. Les entreprises des secteurs vulnérables horeca, tourisme et secteur évènementiel pourront bénéficier d’un accès accéléré au chômage partiel de source structurelle dans la limite maximale de 50% du total des heures de travail mensuelles normales de l’entreprise, à condition de ne pas procéder à des licenciements pour des raisons non inhérentes à la personne. Les heures de travail normales ne pourront pas excéder 40 heures par semaine et par salarié.
  2. Les entreprises touchées par la crise sanitaire, autres que celles relevant des secteurs vulnérables, pourront également avoir recours au chômage partiel de source structurelle par la voie accélérée à condition toutefois de ne pas procéder à des licenciements.
    Dans ce cas cependant le nombre d’heures de travail perdues ne peut pas dépasser 10% du total des heures de travail mensuelles normales de l’entreprise. Les heures de travail normales ne pourront pas excéder 40 heures par semaine et par salarié.
  3. Finalement, les entreprises des secteurs vulnérables , de même que les entreprises issues des autres secteurs touchés par la crise qui devraient néanmoins procéder à des licenciements ou qui devraient dépasser le pourcentage fixé au point 2 ne peuvent le faire qu’à condition que ces entreprises fournissent un plan de redressement pour les petites entreprises de moins de quinze personnes, respectivement sous forme d’un plan de maintien dans l’emploi conforme aux dispositions de l’article L. 513-1 et suivants du Code du travail pour les entreprises occupant plus de quinze salariés.

La clc signe la Charte de la Médiation

En date du 19 octobre 2020, ce n’est pas moins de 40 signataires, dont la clc, qui ont signé la Charte de la Médiation.

En signant la Charte de la Médiation, les signataires et participants à la vie économique du Grand-Duché déclarent sans engagement juridique quelconque, et de façon symbolique,leur intention d’envisager la médiation comme mode de résolution d’un conflit pour un règlement efficace, économique et durable de leur conflit.

Retrouvez ici le visuel de la signature de la Charte

Plus d’informations sur www.cmcc.lu

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Paperjam « Dépenses limitées pour un Noël particulier »

Plus d’un tiers des consommateurs dans le monde prévoient de diminuer le budget de leurs achats de fin d’année à cause de la pandémie, selon une étude globale d’EY. Les achats en ligne, pour les fêtes et même après, devraient continuer leur percée. Des tendances qui se confirment au Luxembourg.

Les commerçants, déjà bien touchés par la crise , pourraient ne toujours pas être en fête à Noël, selon une étude du cabinet EY. Il a interrogé 14.467 consommateurs dans le monde sur l’impact du Covid-19 sur leurs habitudes d’achat. «L’étude est globale, mais ce sont des tendances qu’on retrouve aussi au Luxembourg», indique une porte-parole.

42% des consommateurs prévoient de dépenser moins que l’an dernier dans les achats de fin d’année. En cause, baisse des revenus ou remise en question des dépenses. 40% des personnes interrogées ont vu leurs revenus diminuer pendant la pandémie et 60% réfléchissent «plus attentivement à la manière dont elles dépensent leur argent». Plus précisément, 41% des consommateurs disent avoir réduit leurs dépenses de produits non essentiels et 46% reportent l’achat ou le remplacement d’articles coûteux.

Claude Bizjak, directeur adjoint de la Confédération luxembourgeoise du commerce (CLC), relativise: «Je ne pense pas qu’il y aura une énorme conséquence», notamment sur l’achat de jouets pour les enfants. Mais si on fête Noël en effectif réduit «il y aura moins de cadeaux sous le sapin. Il faudra voir comment vont évoluer les règles, cela aura un impact direct sur la consommation et sur les commerçants».

En tout cas, Noël se préparera en ligne. Pour les 54% de consommateurs qui prévoient de participer à la saison des achats de fin d’année, 91% planifient de le faire, au moins à moitié, en ligne.

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Lire cet article en entier sur Paperjam

(Écrit par Mathilde Obert)

Brochure fiscalité du télétravail

Cette brochure a pour but de :

● résumer les différentes règles fiscales applicables aux salariés frontaliers effectuant du télétravail (y compris dans le contexte de la crise sanitaire Covid-19)
● guider les employeurs dans l’application de ces règles et les aider à mieux comprendre les possibles obligations qui en résultent pour eux.

 

Ce document a été élaboré par l’UEL avec le soutien de la Chambre de Commerce et en collaboration avec l’ABBL, l’ACA, la Chambre de Commerce, la Chambre des Métiers, la clc, la Fédération des Artisans, la FEDIL et l’Horesca.

Les informations contenues dans ce document sont d’ordre général et ne sont pas destinées à traiter la situation particulière d’une personne ou d’une société spécifique. Ces informations ne peuvent, ni ne doivent, servir de support à des décisions sans avoir au préalable sollicité les conseils d’un professionnel et sans avoir effectué une analyse détaillée de chaque situation.

 

Télécharger la Brochure en cliquant ici (FR)

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