Le commerce au Luxembourg: une offre qui fait boum

Ces dernières années, l’offre commerciale luxembourgeoise s’est considérablement développée. L’enjeu? Répondre aux besoins des résidents luxembourgeois, capter le pouvoir d’achat des frontaliers et attirer le chaland au-delà des frontières.

L’offre commerciale luxembourgeoise s’est considérablement étoffée en quelques années. Le pays compte désormais environ 1.200.000m2 de surfaces commerciales. Entre 2016 et aujourd’hui, le nombre de mètres carrés dédiés au commerce a évolué de 20%. Rien qu’en 2019, quelques mastodontes du shopping ont ouvert leurs portes à proximité directe de Luxembourg-ville. En tête, le nouveau complexe commercial de la Cloche d’Or (75.000m2, 130 commerces), le Royal-Hamilius (16.000m2, 16 magasins, dont les Galeries Lafayette), Infinity (6.500m2, 22 magasins)

Le Luxembourg: Champion de la surface commerciale

Si l’on considère les mètres carrés de surface commerciale par habitant, le Grand-Duché se situe aujourd’hui en tête des pays européens avec 169m2 pour 1.000 habitants. Le pays compte pas moins de 33 centres commerciaux de plus de 5.000m2. «Ce développement traduit l’attractivité du pays», commente Fernand Ernster, président de la confédération luxembourgeoise du commerce (clc) et par ailleurs dirigeant des librairies portant son nom. Il faut dire que les très arrogants indicateurs socio-économiques luxembourgeois, en premier lieu le PIB par habitant, éveillent l’appétit des promoteurs étrangers et des enseignes commerciales. «Il faut pourtant prendre ces chiffres avec des pincettes», relativise le dirigeant. «En effet, le PIB par habitant ne révèle pas la richesse créée par les résidents uniquement, mais aussi par un nombre important de personnes qui, chaque jour, passent la frontière pour venir travailler ici.»

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Manger équilibré: une aide au choix

Le Luxembourg compte introduire le système d’évaluation nutritionnelle Nutri-Score sur base volontaire – Explications

C’est un des chantiers prioritaires de la ministre de la Protection des Consommateurs: la semaine dernière, Paulette Lenert (LSAP) a annoncé l’introduction du système Nutri-Score au Grand-Duché. Il s’agit là d’un système renseignant à l’aide d’un code de couleurs et de lettres sur la valeur nutritionnelle des aliments.

Objectif: orienter les consommateurs dans leur choix de nourriture pour une alimentation saine et équilibrée. Le système développé en France est ainsi une composante dans la promotion de la santé des citoyens et en particulier dans la lutte contre les maladies cardio-vasculaires.

Harmonisation nécessaire

Nutri-Score est entretemps recommandé dans la quasi-totalité des pays avoisinants du Luxembourg, depuis lesquels le Grand-Duché importe la majeure partie des produits alimentaires en vente sur son territoire. A la suite d’une concertation avec les parties prenantes – producteurs, distributeurs, représentants des consommateurs mais aussi les diététiciens par exemple – le ministère de la Protection des Consommateurs planche à présent sur un projet de règlement grand-ducal qui devrait être prêt autour de Pâques.

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La foodtech à l’honneur chez EY

Mardi soir, EY inaugurait son nouveau cycle «Start-up Series», dédié à l’innovation, avec une thématique aussi audacieuse que gourmande: la «foodtech», à savoir la technologie au service de l’agroalimentaire.

Le futur de la gastronomie et de l’alimentaire, ce sont évidemment des artisans et des chefs passionnés, des produits de qualité et de saison, mais aussi de la technologie, qui s’invite forcément de plus en plus dans nos assiettes. Jusque-là relativement discrètes dans l’écosystème start-up luxembourgeois, la foodtech et l’agtech (pour «agriculture technology») étaient les invitées de marque mardi soir chez EY pour le lancement du nouveau cycle «Start-up Series» dédié à l’innovation et organisé par le Big Four, en partenariat avec la Confédération luxembourgeoise du commerce (CLC).

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